Story Telling : les histoires qu’on se raconte

Paroles et encore des paroles… que tu sèmes au vent 🎶

Dimanche, petit post mindset. Ca fait un bail, mais cette semaine, j’ai eu 2 discussions (si vous vous reconnaissez coeur sur vous 🫶) qui m’ont donné envie d’écrire. Attention, ce n’est pas un post à partager à vos potes, aujourd’hui c’est toi et toi-même

Les pièges du story telling personnel : comment nos récits influencent nos objectifs

Vous le savez le story telling, est une technique pour présenter son histoire de façon attractive. Ca ne veut pas dire qu’on ment. Simplement, on va préférer un angle précis pour donner une certaine perspective. Avec ces 2 discussions, je me suis dit on se fait vraiment du story telling à soi-même (y compris moi)

La première histoire qu’on a voulu me raconter :

“Je suis incapable de gérer mon argent, donc c’est normal que je n’arrive pas à tenir le budget que je me suis fixé.”

La 2e histoire :

“Ne pas donner d’argent à ma famille c’est être méchante, donc c’est normal que je n’arrive pas à tenir le budget que je me suis fixé”

Bien sûr, elles n’ont pas dit ça comme ça, mais à la fin c’est tout ce que j’entends!

Quand vous prenez un angle de vue bizarre sur votre situation, ne soyez jamais étonné.e de ne pas atteindre vos objectifs. Le fait est que vous êtes en train de faire du mauvais story telling pour expliquer / justifier / excuser l’absence de résultat.

Le story telling, la confiance en soi et les choix personnels : quel lien ?

Dans le cas de la première histoire, la personne est intelligente, et créative (c’est un membre très actif de la #teamesclavagiste qui veut toujours que je fasse de nouvelles choses 😂).

En réalité, elle a 100% les capacités de gérer correctement son budget. Si problème il y a, il n’est pas au niveau de sa capacité intellectuelle. C’est plus sa confiance en elle qu’elle doit travailler.

Dans la 2e histoire, les membres de la famille qui mettent son budget à mal ne sont PAS dans le besoin. En effet, personne ne sera mis en péril si elle ferme le robinet à part le lifestyle de ses débiteurs.

Pour elle, le travail sera de sortir du rôle de la petite fille et commencer à s’affirmer en tant qu’adulte qui a ses propres projets. Et elle a un potentiel de dingue!

Toi aussi à l’avenir, assure-toi de ne pas abuser du story telling si tu veux atteindre tes objectifs dans les meilleurs délais. 😉

1 thought on “Story Telling : les histoires qu’on se raconte”

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